Transformers : l'âge de l'extinction regarder en ligne avec sous-titres 1080p

Transformers. l'âge de l'extinction

CE N'EST PLUS UNE GUERRE, C'EST UNE LUTTE CONTRE L'EXTINCTION DE L'HUMANITÉ. - Dans ce quatrième opus de Transformers, Mark Wahlberg remplace Shia Leboeuf, tandis que Michael Bay est toujours aux commandes pour cette suite encore plus musclée. Le film, véritable mélange entre fantastique et science-fiction, met en scène des machines plus performantes pour des scènes d'action toujours plus explosives.

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Transformers. l'âge de l'extinction

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Transformers. l'âge de l'extinction: ADN

Synopsis du film Transformers. l'âge de l'extinction

Quatre ans après les événements mouvementés de "Transformers. La Face cachée de la Lune", un groupe de puissants scientifiques cherchent à repousser, via des Transformers, les limites de la technologie.
Au même moment, un père de famille texan, Cade Yeager, découvre un vieux camion qui n'est autre qu'Optimus Prime. Cette découverte va lui de attirer les foudres d'un certain Savoy, dont le but est d'éliminer les Transformers. Pendant ce temps, le combat entre les Autobots et les Décepticons refait surface.

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Critiques Blog du film Transformers. l'âge de l'extinction

Si il y a un des films de la franchise à éviter, c'est celui là. L'ensemble est brouillon, assez moche et seul la scène de fin vaut le coup. mais pas d'attendre 2h pour.

Transformers. l'âge de l’extinction devait ouvrir la franchise sur une nouvelle ère et c'est réussi, malheureusement. Plus crétin, plus incohérent, plus "vide" que jamais, cet opus abandonne la moindre étincelle de scénario pour livrer du grand spectacle brut et sans âme. Dans les premiers au moins il y avait de l'humour.

Pour ce quatrième opus, Michael Bay voit les choses en grand en offrant toujours plus d'effets spéciaux, de courses poursuites, de combats, de robots. pour notre plus grand plaisir en dépit du scénario.

Bay offre encore une fois du grand, très grand spectacle mais lasse le spectateur qui "subit" l'action beaucoup trop présente, sur beaucoup trop de temps

Après le cynique No pain No gain, et une bande-annonce qui déchirait grave, je partais avec les meilleures intentions du monde.
Alors j'ai essayé, c'est promis, de passer outre le mauvais doublage (sans rire. on se croirait dans Wayne's World sauf que là c'est pas fait exprès !), cette façon collective d'ânonner pas du tout convaincante, cette fille de 17 ans, mi Tara Reid mi Tyra Collette dans Friday Night Lights (l'inspiration texane sans doute), gaulée comme un avion de chasse, aussi crédible en étudiante que Sophie Marceau à l'époque dans le film éponyme, qui semble déjà avoir pas mal d'heures de vol au compteur (la faute au surmaquillage qui rend la peau indéniablement grasse voire suintante ou au spray à bronzer dont elle semble abuser en off tout au long du film. Non vraiment. à la fin on dirait une carotte !), qui par conséquent fait déjà vieille alors qu'elle est toute jeune dans la vraie vie et qui pourrait être la soeur de Wahlberg, ou sa gonzesse et non sa gamine.
Mais ils m'ont définitivement perdue, au bout de 20mn avec l'arrivée du sauveur en bagnole de rallye et cette réplique hystérique de la-dite jeune-vieille alors qu'ils sont poursuivis et se font copieusement canarder. "C'est mon mec, il s'appelle Shane, il est pilote !" (À prononcer avec cette intonation vulgaire caractéristique du cliché de la secrétaire qui mâchouille ou suçote astucieusement un chewing-gum ou un capuchon de stylo).
A partir de là, c'est devenu très difficile de ne pas regarder tout ça sans en relever la moindre absurdité, parce que j'aime bien les films bourrins mais y'a des limites (. )
La suite ici.

On peut résumer Transformers l’âge de l’extinction par le mot déception, voir complètement nul et raté. Le scénario est encore plus inexistant que dans les autres productions de Michael Bay, on atteint le grand n’importe quoi quasiment tout le long du film. Le cahier des charges pour un blockbuster est remplis mais sans rien à côté, un blockbuster qui prend les spectateurs pour des idiots. En plus de cela, les incrustations numériques sont en grandes partie loupées, principalement les nouveaux transformers qui font faux. Sans compter la 3D inexistante, avec quasiment aucuns jaillissements et seulement des plans de profondeurs limités. On peut souligner une seule chose réussis, les placements de produits par paquet et bien visible, 2h46 de pubs. Le plus mauvais de la saga et un très mauvais départ pour une nouvelle trilogie.